Quand consulter ?

Nous réglons souvent nos problèmes avec efficacité et bon sens. En faisant preuve d'intelligence ou de sagesse, par notre savoir, ou par expérience. Parfois seul(e) ou avec l'aide de proches. Preuve s'il en est que nous disposons d'une palette de ressources assez importante.

Mais certains problèmes peuvent continuer d'accaparer notre esprit. Ils s'installent de façon chronique et/ou douloureuse, en dépit de tout "bon sens" et dans un nombre incalculable de tentatives infructueuses. Lorsque la souffrance devient trop grande et/ou permanente, le recours à un professionnel de la psychothérapie s'impose.

Il peut aussi être utile de consulter dès que possible, voire même à titre préventif. Ceci est le volet "coaching" des thérapies brèves, dans le sens où elles sont fondamentalement un apprentissage de vie.

Une psychothérapie brève se focalise davantage sur le "comment faire pour s'en sortir", que sur le "pourquoi cela arrive ou est arrivé". Il est parfaitement légitime de souhaiter savoir. D'autres professionnels y répondent. Savoir est même parfois un passage utile et constructif. Mais ceci n'est pas totalement nécessaire avec les thérapies brèves. Les thérapies brèves se concentrent sur les solutions avec un gain de temps appréciable. Elles cherchent surtout les déclencheurs et/ou les causes directes dans un cadre personnel et relationnel.

Une psychothérapie par son rôle structurant est un complément utile sinon indispensable à une « médication psy » (anti-dépresseurs, anxiolytiques, psychotropes, somnifères, etc …), afin d'éviter des rechutes ou une prise permanente. Certains compléments alimentaires peuvent aussi se révéler être une aide précieuse.

Toutefois, les demandes psychiatriques « lourdes » (psychose, schizophrénie, …) restent hors de portée de ce cabinet en raison des besoins particuliers de compétence, de médication et de structure.